« Je bois ça, je mange quoi ? »
Dans la gastronomie française, un vin doit sublimer un plat. Le meilleur des accords permettra au vin, comme au plat, de révéler les qualités de l’autre, pour obtenir une belle harmonie…
Si tout est une question de goût, quelques principes doivent tout de même être pris en compte pour éviter LA catastrophe durant un repas… On vous donne donc quelques précieux conseils !
Associez les saveurs, les textures et le poids des aliments et du vin. En 3 mots, définissez votre plat, et trouvez LE vin dont les qualités s’y rapprochent.
L’objectif ? Que le vin embellisse un plat, et que ce dernier semble lui-même sublimé…Deux écoles s’affrontent :
- LES CLASSIQUES avec les accords de similitudes : trouvez un vin qui se rapproche le plus du plat dans ses caractéristiques, pour une douce harmonie.
- LES AVENTURIERS avec les accords de contrastes : trouvez un vin complètement opposé pour assurer la meilleure des complémentarité ! Si dans un premier temps, les saveurs se combattent, elles finissent par s’unir pour vos surprendre et vous ravir… Exemple : Sur un fromage, osez un blanc sec ! L’acidité de celui-ci, opposé au gras du fromage formera une belle association.
Respectez l’ordre de service des vins
Lors d’un repas complet où plusieurs vins seront servis, montez en puissance – du plus léger au plus fort. Exemple – Évitez un vin trop lourd ou trop chargé en sucre à l’apéritif ! Cette erreur est fréquente…et fatale pour vos papilles. Chargées dès le début du repas, elles ne vous offrirons plus toutes les saveurs des plats suivants… Dommage, non ?
On vous donne quelques repères importants :
- Du blanc, puis du rouge
- Un vin jeune, puis un vin de garde
- Un vin non boisé, puis vieilli en fûts
- Un vin léger puis riche en alcool
- Un sec puis un moelleux
- Un vin frais, puis chambré